Il commence avec un marqueur puis les 400ml s'agitent. Il y met tout son
cœur et propage sa bonne humeur en étalant l'acrylique.
Il tague les fleurs de
la ville en réaction à ce gris ciment stérile. Cela fait plus de 15 ans qu'il
peint sans relâche un graffiti onirique. La sculpture l'emporte maintenant dans
la troisième dimension.
Son premier solo show présenté à la Galerie Ligne 13 porte comme nom
"la larme de sirène" car derrière des représentations qui pourrait
paraître naïves, Snez dénonce l'état d'un système en perdition.
Suivez Snez sur Instagram : @doteur_enser